ASIE PACIFIQUE – Le dirigeant Kim Jong Un a supervisé l’essai effectué jeudi et a averti qu’il s’assurerait que les adversaires « subissent une crise de sécurité plus évidente et soient constamment frappés par une angoisse extrême et une terreur en prenant des mesures offensives et fatales jusqu’à ce qu’ils renoncent à leurs pensées insensées et à leurs actes imprudents », d’après les médias d’État nord-coréens.

ASIE PACIFIQUE – Jeudi, la Corée du Nord a effectué un tir d’essai d’un nouveau modèle de missile balistique à longue portée, selon la Corée du Sud, provoquant une alerte dans le nord du Japon où les résidents ont été priés de se mettre à l’abri, bien qu’aucun danger n’ait finalement été signalé.

ASIE PACIFIQUE – Yan Yu-hsien, chef adjoint de l’état-major général pour le renseignement du ministère de la défense de Taïwan, a déclaré que la « zone d’exclusion aérienne » se situerait dans la zone d’identification de la défense aérienne (ADIZ) du pays, à environ 85 milles nautiques au nord de ses côtes. Une ADIZ est une section de l’espace aérien international que les pays peuvent définir arbitrairement comme la leur pour la surveiller.

ASIE PACIFIQUE – Le ministère de la Défense de Taïwan a révélé mardi que des avions militaires et des bateaux de la marine chinoise étaient toujours présents dans les eaux entourant l’île, après la fin de trois jours de manœuvres militaires. La présidente taïwanaise Tsai Ing-wen a critiqué Pékin pour son attitude « irresponsable ».

ASIE PACIFIQUE – Les manœuvres ont été annoncées samedi, suite au retour à Taipei de la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen, qui avait rencontré à Los Angeles le président de la Chambre des représentants des États-Unis, Kevin McCarthy. La Chine n’a jamais exclu l’utilisation de la force pour ramener l’île démocratiquement gouvernée sous l’autorité de Pékin. Le gouvernement taïwanais conteste fermement les revendications de la Chine et a condamné les manœuvres.